Publié le 18 juillet 2024

DISCOURS DU ROI : UNE NOUVELLE STRATÉGIE INDUSTRIELLE PEUT LIBÉRER L’AMBITION DES ENTREPRISES

Shevaun Haviland, directeur général des chambres de commerce britanniques, a réagi au discours du roi prononcé aujourd’hui : 

« L’engagement en faveur d’une nouvelle stratégie industrielle pourrait mettre en place un cadre permettant de libérer l’énergie des entreprises britanniques et faire croître l’économie.

Si nous l’utilisons pour faire de l’innovation verte un moteur essentiel de cette croissance, et si nous l’associons à un plan cohérent en matière de compétences, de commerce, de décentralisation et d’intelligence artificielle, les possibilités pourraient être infinies.

Des milliards de livres sterling d’investissements privés ont été retenus par des entreprises qui attendaient des certitudes à long terme sur l’économie.

L’intention claire du gouvernement d’accélérer le système de planification pour les infrastructures à grande échelle peut renforcer la confiance des entreprises, à condition qu’elle soit concrétisée. Les mesures visant à accroître la résilience des entreprises, la réforme de la taxe d’apprentissage et la législation en faveur d’un carburant aéronautique durable pourraient également stimuler l’économie.

Le fait de confier la prise de décision et le financement aux personnes les plus proches de leurs économies locales et des problèmes auxquels elles sont confrontées, tout en renforçant l’approche collaborative, sera également bien accueilli.

Il reste encore de grands problèmes à résoudre. L’amélioration de nos relations commerciales avec l’UE ne sera pas simple, et une consultation détaillée avec les entreprises sur le plan visant à rendre le travail plus avantageux sera nécessaire.

Mais le discours d’aujourd’hui montre que la voix des entreprises a été entendue et que le gouvernement introduit des mesures qui profitent aux entreprises et contribuent à débloquer l’investissement.

Nous voulons travailler en partenariat avec le gouvernement pour y parvenir et faire passer l’économie de la première vitesse à la deuxième. »

L’article du BCC